CRITIQUE
PRIX AICA-FRANCE DE LA CRITIQUE D’ART 2022
Intervention critique en duo avec Arnaud Idelon
Présentée le 07.10.2022 à l’INHA
Dans la continuité de nos recherches sur les modalités collectives de l’écriture critique, il m’a semblé évident d’inviter Arnaud Idelon à présenter en duo une intervention suite à ma nomination au Prix Aica-France de la critique d’art.
Nous avons choisi d’évoquer les opéras du Wonder-Liebert, forme de création collective et festive qui a marqué nos débuts de carrières en tant que critiques (et praticiens assidus des nouvelles formes festives !).
Merci à Claire Luna pour son invitation, à Salim Santa-Lucia et aux artistes du Wonder pour leur confiance.
(Et bravo à Aurélie Faure pour son prix ♡)
la captation vidéo
Extraits
"”Tu vas au Liebert toi ce soir ?"
Première fois que je l’entends. Cette phrase qui scandera les quelques mois entre 2018 et 2019. Bagnolet, le Wonder, le Liebert. Artist-run space dans usine à piles.”
(...)
“Les opéras du Wonder ont peut-être pour singularité d’avoir intégré la donnée d’un public actant, par la fête et son énergie. Ils laissent alors à ce public la possibilité de maîtriser l’espace, le temps, la fatigue, l’ivresse même dans son rapport à l'œuvre. Par là, ils offrent une expérience esthétique où l'œuvre, décentrée mais essentielle, devient la facilitatrice d’un vécu sensible et commun.”
Nous avons choisi d’évoquer les opéras du Wonder-Liebert, forme de création collective et festive qui a marqué nos débuts de carrières en tant que critiques (et praticiens assidus des nouvelles formes festives !).
Merci à Claire Luna pour son invitation, à Salim Santa-Lucia et aux artistes du Wonder pour leur confiance.
(Et bravo à Aurélie Faure pour son prix ♡)
la captation vidéo
Extraits
"”Tu vas au Liebert toi ce soir ?"
Première fois que je l’entends. Cette phrase qui scandera les quelques mois entre 2018 et 2019. Bagnolet, le Wonder, le Liebert. Artist-run space dans usine à piles.”
(...)
“Les opéras du Wonder ont peut-être pour singularité d’avoir intégré la donnée d’un public actant, par la fête et son énergie. Ils laissent alors à ce public la possibilité de maîtriser l’espace, le temps, la fatigue, l’ivresse même dans son rapport à l'œuvre. Par là, ils offrent une expérience esthétique où l'œuvre, décentrée mais essentielle, devient la facilitatrice d’un vécu sensible et commun.”